Ecologie de droite ou de gauche ?.

 

 La question dérange nous pensons qu’elle est à ceux qui l’intègrent dans leur pratiques de vie. Prenons un exemple tout ce qui est produit peut être représenté par une gâteau, un très gros gâteau. Au moment du partage on s’aperçoit que  1% prennent la moitié du gâteau. L’état remédie en partie a cet état de fait les millionnaires redonnent une partie du trop-perçu mais les milliardaires sont placés sur un piédestal, on enlève ISF sur les fortunes boursières, on donne du CICE en plus ces milliardaires possèdent la dette des états ils sont intouchables  et sont des parasites. Les premiers de cordée gardent la corde. C’est la droite financière c’est l’oligarchie qui tue la démocratie l’épidémie de misère s’étend.

La gauche enfin la vraie va s’atteler à réduire ce gouffre inégalitaire mais elle va parfois bien trop loin comme sous Staline ou les petits paysans possédant quelques vaches étaient d’affreux capitalistes et terminaient au cimetière au pire ou au goulag s’ils avaient de la chance ces petites fermes en réalité nourrissent le peuple. Au final la misère et la famine s’entendaient considérablement.

L’écologie est différente à condition d’avoir de vrais écologistes c’est-à-dire que la science écologiste est la référence et non la science économique. Avant toute chose il faut qu’il y ait un gâteau à partager car si nous prenons l’analogie avec un champ de blé les sols étant quand même dégradés les rendements seraient très faibles sans pétrole pour fabriquer les engrais se serait même la famine. De 600 a 1000 litres d’équivalent pétrole  sont nécessaire a l’hectare. L’agroécologie grâce aux associations végétales ne demande que cent litres et encore c’est surtout le tracteur un hectare d’huile de tournesol donne assez pour vingt hectares. Avec la vie du sol améliorée nous pouvons espérer les deux tiers du rendement traditionnel. Le vrai écologiste préserve la vie et ensuite vient la question de la répartition avec un fort resserrement des écarts car les riches détruisent fortement la planète. René Dumont par exemple n’était ni de droite ni de gauche quand il faisait son programme écologique mais il faisait plus confiance à la gauche pour l’appliquer a partir du moment où la conscience écologique apparait. Il déconseillait fortement la participation a un gouvernement non écologique les faits lui ont donné raison vu le nombre de démissions de ministre de l’écologie. Nous pensons a Delphine Batho  et a Nicolas Hulot  et même ceux qui n’ont pas démissionné leur situation était difficile comme Corinne Lepage ou Chantal Jouanno quand son président déclarait « l’écologie ça commence à bien faire »  elle a du se sentir bien seule.

 

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